• A SAVOIR •

Même s'ils paraissent au premier regard insignifiants, ce sont ces détails qui permettent ou non la résolution d'une affaire.

2ad l'a bien compris, et met tout en œuvre pour obtenir la meilleure qualité d'image de jour mais aussi de nuit.

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• POUR DE MEILLEURS RÉSULTATS EN VIDÉO URBAINE •

" PAS D'UTILISATION DE DÔME VIDÉO 360°- UNIQUEMENT DES CAMÉRA FIXE "

CAMÉRA FIXE

DÔME 360

Pour commencer, rappelons une évidence : Combien de fois avons-nous constaté la frustration d’utilisateurs de système, qui ne trouvent pas les éléments nécessaires à l’identification de l’auteur d’une infraction « parce que la caméra ne regardait pas au bon endroit» ? (ou « au bon moment » dans le cas des caméras dômes). Des éléments de réponse à ce problème courant commencent à apparaître sur le marché de la vidéo protection, avec l’arrivée de caméras dotées de plusieurs objectifs, possédant chacune des zoom distincts, des angles différents, ou une optique grand-angle à 90°, 180°, 360°… Il nous paraît indispensable que les utilisateurs soient désormais très vigilants sur le choix de leurs caméras. Nous estimons que le poste « caméra » ne représente au final pas plus de 30% de l’effort financier global nécessaire à l’installation d’un dispositif de vidéo protection. Et pourtant chacun a bien conscience que c’est sans doute l’élément le plus important pour assurer «l’efficacité» d’un dispositif. Quel dommage dans ces conditions de ne pas équiper un système d’une caméra qui voit TOUT autour d’elle et pas uniquement 40° d’un angle de pièce, d’un couloir, d’une voie publique ! Et quelquefois on constate même que cet angle de vue n’est pas supérieur à 10° ou 20° dans le cas d’un zoom avant important… Il faut ôter les œillères de nos caméras et prendre enfin en compte 100% de la zone où est placé un capteur, dans toutes les directions, l’existence de masques numériques garantissant le respect de la vie privée.

 

"OUI MAIS UN INSTALLATEUR DE VIDEO PROTECTION M'A DIT QUE MAINTENANT IL Y AVAIT DES DÔMES INTELLIGENTS QUI FAISAIT DU TRACKING , C'EST A DIRE UNE POURSUITE AUTOMATIQUE D'UNE CIBLE EN MOUVEMENT"

 

Pour vous démontre "l'intelligence du dôme" :

( ci-dessus, quelques exemples de la limite de ces dis "dômes révolutionnaires". )

TRÈS IMPORTANT : VOUS PERDEZ LA FONCTION DE RECHERCHE AUTOMATIQUE DES LOGICIELS, C'EST A DIRE, QU'EN CAS DE RECHERCHE D’ÉVÉNEMENTS VOUS SEREZ OBLIGÉ DE VISUALISER L'ENSEMBLE DE LA VIDÉO.

 

En conclusion, les dômes vidéo sont réservés uniquement pour les postes de surveillance ou un humain est présent 24/24 h 7/7 derrière l’écran de contrôle ou lorsque vous avez besoin de surveiller différents points ponctuels ( dans ce cas le dôme est positionne sur la zone concerne et il reste fixe pour l'enregistrement).

• UNE TRÈS HAUTE SENSIBILITÉ •

Seconde évidence : c’est toujours avec un grand sentiment de culpabilité et une certaine frustration que l’on explique, confus et navré aux enquêteurs des services de police, « qu’on a bien des images, mais vous savez, comme il faisait nuit, elles sont inexploitables » ! Comment continuer à accepter qu’un système ayant vocation à être utilisé 24 heures sur 24 ne soit pas capable de fournir des images de qualité… Oui, nous affirmons qu’il est indispensable que les caméras voient aussi bien la nuit que le jour, et si possible encore mieux que ne pourrait le faire l’œil humain. Et ces caméras existent aujourd’hui . Alors que la majorité des caméras sont des caméras couleur qui, lorsque la luminosité devient trop faible, font basculer un filtre infra rouge pour basculer en noir et blanc et augmenter leur sensibilité, nous avons opté pour des caméras qui  sont soit des caméras couleur pour le jour , soit des caméras noir et blanc pour la nuit.

 

Certes plus chères, mais beaucoup, beaucoup plus sensibles.

 

Il n'y a pas de miracles , aucune caméra couleur équipée d'un filtre infra rouge ne saura aussi efficace qu'une caméra noir et blanc de nuit. Ce n'est peut être pas par hasard si les ingénieurs qui conçoivent les modules lunaires ou martiens équipent leurs systèmes de caméras noir et blanc ( les images couleurs que vous pouvez éventuellement voir sont des images noir et blanc colorisées). Le futur robot martien prévu pour un lancement en 2017 sera équipé aussi de caméras noir et blanc. Il n'y a pas de secret: rien ne vaut actuellement une caméra noir et blanc de nuit.

• UNE TRÈS HAUTE RÉSOLUTION •

Cette évidence… est une évidence ! « Nous avons l’image de l’individu, de la plaque minéralogique… mais uniquement sur 4 pixels de haut ! » Autrement dit, une poignée de points de couleur disponibles pour identifier de manière formelle un individu, là où la loi indique qu’un visage doit comporter au moins 60x90 pixels ! Nous aimerions ici détruire un mythe et envoyer au musée une technologie vieille de 50 ans, celle de la résolution 4CIF. Ce n’est plus une norme suffisante aujourd’hui compte tenu des évolutions technologiques. Rappelons pour mémoire que 4CIF correspond à une image de 704×576 pixels, soit 405 504 pixels, autrement dit : 0,4 Mégapixels ! Oseriez-vous pour Noël 2012 offrir à vos enfants ou petits-enfants un smartphone ou un appareil photo de 0,4 MPixel ? Ce n’est plus sérieux ! On nous parle désormais de «haute définition», mais savez-vous que cette télévision «haute définition» est avant tout un terme marketing, qui indique juste que l’image est meilleure (et c’est objectivement vrai !), mais finalement pas de beaucoup ? La norme HD-TV 720p fournit une image de 1280x720 soit 0,9 Mégapixels et la norme HD-TV 1080i délivre une une image de 1920x1080 soit 2 Mégapixels. Certes, c’est mieux… mais n’est-ce pas déjà presque dépassé ? Dans le meilleur des cas, en multipliant par deux le nombre de lignes de l’image (on passe de 507 lignes à 1080 lignes), l’individu qui ne faisait que 4 pixels de haut, en fait désormais 8… Oui, c’est mieux, mais ce n’est pas une révolution technologique, c’est seulement une amélioration : on n’a toujours pas le visage à coup sûr dans la vidéo. Ce dont l’utilisateur a vraiment besoin, c’est de caméra à 3, 5, 10 ou 16 MégaPixels, de caméras virtuelles où plusieurs caméras sont accolées les unes aux autres, avec des images bord à bord, simulant un véritable flux à 25 images/s à 50, 100 Mégapixels, et pour certaines d’entre elles, des caméras qui pivotent sur leur axe vertical, comme un radar, et qui «scanne» littéralement la zone, générant parfois des vidéos dont chaque image dépasse le GigaPixel (1000 Mégapixels). Les images obtenues ainsi sont saisissantes : une plaque minéralogique à 400 mètres ! Un visage de 200x150 pixels dans une foule de 50 000 personnes ! Enfin, et surtout, n’écoutez pas ceux qui vous expliqueront que ces images sont « trop grosses », que ce n’est pas raisonnable, que les réseaux IP ne le supporteront pas : souvenez-vous de nos premières photos numériques au format 640x480 de l’an 2000, de 60 ko, et de notre modem et sa douce musique de connexion, ou de l’ADSL 64kb/s dont nous étions tous ravis… Si l’on se réfère à la loi de Moore dont tout le monde s’accorde à dire qu’elle sera encore valable dans les prochaines années, nos réseaux seront encore plus puissants, nos processeurs encore plus survitaminés, et une clé USB de 2To coûtera… 30 € ?

DE 1.3 MPx

A 40 MPx

• UNE CAMÉRA DEVENUE DÉTECTEUR EN TEMPS RÉEL •

Enfin, la dernière évidence qui nous apparaît régulièrement est la problématique de la saturation des opérateurs chargés de visionner les images, le sacro-saint mur d’images, ou pire, les mosaïques de 4, 9 ou 16 images sur chaque moniteur ! Sachant qu’un opérateur ne peut décemment et efficacement ne visionner que 4 ou 8 vidéos, selon les avis, mais jamais 100, 200, ou 1000, à quoi sert une caméra qui filme un délit… et où rien ne se passe car personne ne visualise la scène en temps réel ? Peut-on vraiment parler dans ce cas de vidéo protection ?

 

L’assistance automatique par les systèmes est l’enjeu de demain. La vidéosurveillance intelligente (VSI), ou détection automatique d’anormalité (DAA) est la seule réponse possible à la montée en puissance du nombre de caméras. Elle donnera la possibilité d’effectuer des pré-recherches ou post-recherches automatiques dans l’image, ce qui permettra à l’opérateur, dans un deuxième temps, de valider et affiner ce qu’il cherche, et qu’il trouvera alors : un deux-roues au sol dans une rue, une personne bousculée et qui est tombée, une altercation… et mieux encore parfois : de donner l’alerte en temps réel afin que l’opérateur puisse immédiatement déclencher une réponse terrain appropriée : Police Nationale, Pompiers, SAMU, Croix-Rouge…

 

Enfin, cette détection automatique pourra aussi apporter des solutions en temps différé, après l’événement, en facilitant le travail de recherche des images enregistrées. On constate aujourd’hui dans les grands centres que la charge de travail que représente cette recherche croît sans cesse. D’une part parce que le nombre de caméras augmentant le volume d’images enregistrées croît également, d’autre part parce que les services de police se sont appropriés cette technologie, qu’ils considèrent indispensable à leurs investigations. Il est fréquent aujourd’hui dans les centres superviseurs qu’un opérateur travaille à plein temps sur la recherche d’image pour les enquêteurs. On ne peut que se réjouir que la vidéo protection soit utilisée, car c’est la preuve de son efficacité, mais trouvons vite des solutions intelligentes permettant d’optimiser la recherche d’images probantes, ce qui permettra aux opérateurs de concentrer leur attention sur la gestion du temps réel.

Vidéo d'exemple de recherche en 3 clics

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